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NOTRE-DAME GRAND BRULÉ

Venehon

16 avril 2019


Notre-Dame de Paris a peut-être ouvert quelques perspectives vraies sur l'art du Moyen-age, sur cet art merveilleux jusqu'à présent inconnu des uns, et ce qui est pis encore, méconnu des autres.

Victor Hugo


Avec plus forte raison notre poète nous à donner sa vérité ; il est bien vrai que l'Art du Moyen-âge est mal-venu pour beaucoup. Combien d'entre les cœurs n'ont à imaginer que les bedeaux affairements de nos satanées savants qui, la farce en poche, nous redonne la croyance que nos basiliques et nos cathédrales n'ont été construites que par des gens de peu de jugeote. Alors qu'en plus d'une somme de plein génie nos lumineux Moyennants ont montré qu'ils n'avaient rien à nous envier. Bien au contraire et je parlerais de la bonne gigue qu'il possédait encore et que nous n'avons plus : l'art de la torture.

Ah, comme c'était fameux chez nos ancêtres qui n'avaient pas l'effroi de faire avouer le crime de leur ennemi en tordant ses bras et ses jambes. Comme il n'aurait pas eu la pitié de chercher dans cet incendie auquel nous avons assisté, le criminel de petite envergure, qui se croyant momentanément élu, aura escalader à la force d'un Dieu notre cathédrale et l'aura incendier. Combien chez nos Moyennants se seraient évertuer à trouver des émissaires-priseurs chez leur ennemi du quotidien qui sans cesse leur donnait du fil dans les retors. Nous n'avons plus de cette sainte union qui devait amené à la considération d'un peuple, cette ligue contre un ennemi commun qui mériterait bien un châtiment tout aussi absurde qu'il puisse être.

Nous avons pu voir nos médias de pourceaux, tout aussi inconséquents et veules que des maigres enfants qui reviennent s'asseoir aux beaux-jours au devant d'un écran. Sans plus de volontés ces journalistes qu'on ne saurait accompagnés de la main que pour qu'ils puissent emprunter le dur barrage de leur sentiment et qui n'est que la simple traversée d'un passage pour piéton ; les voit-on encore mentir et mentir en omettant que ce beau-jour de flamboiement de Notre-Dame il y avait bien un homme qui à été filmer à son étage. Pourquoi n'y-à t'il pas d'enquête de ces écoliers de l’information ? Pourquoi le tout-paris, la France entière devrait s’accommoder de nos plus inaptes mendiants de la reconnaissance ? Où sont nos Rouletabille, où sera la vertu de nos jeunes âmes tout enfanter encore du siège des écoles, et ne verra-t-on pour le restant de notre vie en ce Pays, tous aux frais de la princesse que les sacerdoces des sans-mérites ?

Nous avons assisté, une fois de plus aux offenses symboliques des Musalmines chéries. Les uns, sur les réseaux-sociaux priaient en invoquant leur foi de béjaune, leur Dieu plus innocent d'amour qu'un faux-ami, d'avoir fait tomber la pointe de Notre-Dame. "incha-allah", ces infâmes ! L'une d'elle, voilée jusqu'à l'indécence et la culotte de cheval nous disait bien "Bah alors, ça tient pas vos bâtiments ? La mecque ça n'à jamais brûler." Oh ! J'aime mieux un édifice qui brûle car c'est ainsi que Dieu se montre le mieux à l'homme. J'aime mieux cela qu'avoir sur notre sol comme vous avez à votre Mecque les invasions annuelles de cafards. Je dis bien cafards, je ne parle d'aucune autre ethnie que celle des insectes qui sont nommés ainsi ! Cent fois nous avons vu des images de votre sol immaculé, lavé par l'eau bénite de vos déserts qui en manquent ; et infestés par des milliers de cafards qui se répandaient sous les pieds sans surprises de vos plus dévoués esclaves qui sont disciplinés à laver les sols de la mosquée, pour que votre noble personne, Musulman parmi le milliard, puisse venir lancer sa pierre, écraser son voisin, annuellement à la recherche de la nourriture de la foi.

Faudra-il se venger du crime un jour, et des applaudisseurs ! Nos Moyennants, ancêtres pour tous grands-hommes qui désireraient s'endurcir ; ont trouvés les moyens fameux de faire s'accoupler des aveux et des chameaux. Ils prenaient ainsi un homme chichement accusé, ils l’allongeait sur une table et lui faisait boire la calice jusqu'au bord du Léthé.

De même nous devrions inventer ses faveurs à de perfides arbions ! Soit nous prendrions un peu de leur eau des carrelages pour agrandir nos gourdes de supplices. Soit nous parodierons nos pères pour notre saint-époque toujours prête à l'humour, et nous aimerions les voir pour en mieux rigoler ; subir une absorption forcée de cruches de graisses de cochon !

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