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Monarques et monades

  • Venehon
  • 6 mars
  • 2 min de lecture

La monarchie est plus profitable à l'avenir d'une nation, mais la démocratie est meilleur pour le monde.

Le monarque n'a plus a se soucier de son pouvoir et de ses intérêts, il en trouve dans la puissance de sa nation, et parfois jusqu'à l'étendre militairement quant à force de tirer les leviers il n'a plus la verdeur de sa prime-accession et se rend compte que le domaine économique ne tient pas sans accaparer.

Le démocrate-président lui n'a pas le temps de se soucier de sa nation, il doit tout d'abord s'occuper de tous les petits-éloges qu'on lui fera, puis de de la manière qu'il aura de se retirer, de se trouver une place - puis à trouver celles de ses amis.

Il fait et défait ces lois à la va-vite, conscient que les prochains les déferont, les referont. En somme, il n'a pas le temps de se lasser ; sinon qu'à se prélasser de son statut.

Le monarque lui n'a aucun statut, son pouvoir est acquis, il ne le préserve qu'avec des hochements et rien de plus - c'est pourquoi il se réserve à d'autres conceptions.

Le président semble déjà au delà de ses espérances, et il se croit toujours sur la sellette.

Qu’on s’imagine un homme à qui l’on dit : « tu peux tout faire pendant cinq, dix ans, absolument tout ce que tu veux, tu es l’égérie de la nation, mais tu dois surtout travailler pour elle ? »

On trouvera rarement des hommes à l’impératif morale assez formé pour justement s’y conformer.

Ce qui diffère du monarque au président : c’est l’ennui du monarque, et la sur-socillitation du président.

Un homme qui a le temps de s’appesantir pèsera pour le mieux le pour et le contre.

A force de carrière il prendra sa nation au sérieux de ce que sa personne lui apparaîtra comme allant-de-soi.

Le président aura toujours le besoin de se pousser dans le cercle de sa nation-même ou dans les intrigues qui flatteront ses heures.

Et c’est parcequ’elles sont toutes centrés sur elle-même, dans la corruption de leurs intérêts, que les démocraties sont moins guerrière durant l’histoire.

Et c’est parce que les monarchies sont lassés d’elles-mêmes qu’elles lorgnent sur les autres.

 
 
 

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