Les gens utilisent les émoticônes comme une béquille à leur langue boiteuse

Les gens utilisent les émoticônes comme une béquille à leur langue boiteuse.

Quelque-chose d'important là-dessous.

Nous n'aurons vu aucun écrivain ni même epistolier par mégarde nous dessiner de grands sourires, des yeux - des je ne sais quoi pour pallier au manque absolu de leur expression. Non, autrefois nous prenions notre temps, nous développions une idée, nous faisions preuve d'invention. Parfois nous nous répétions , alors nous nous reprenions ; nous demandions même à ce qu'on s'explique ! Il faut désormais que mesdames aient leur droit en tout genre, leur droit de comprendre sur l'instant ! Vouloir raisonné jusqu'à défier ce qui fait pourtant la pieuse élaboration de la raison elle-même. Petites sottes et petits sots qui n'ose même plus rallonger leur phrase, introduire des temps parfois un peu retors et puis justifient l'usage de leur conjugaison molle et de leur phrase à tête courte par de petit hochement toujours un peu entendues. Ces messieurs veulent qu'on les comprennent - pour que si tôt nous les annonçions. Alors ils utilisent leurs émoticônes qui sont plus encore ratifié dans l'usage commun que ne le serons jamais les multitude de définitions ; que ne le serons jamais les variantes de mots et d'orthographe.

Pourtant ils ne pleurent pas comme ils s'estiment à pleurer - ils ne rient pas tout aussi jaune que soit leur teterons miniauture. Ils n'ont d'ailleurs jamais eu de larmoiements qui ne coulèrent de leur yeux poches, sinon lorsque ces collégiens de cervelles se moquaient à n'en plus pouvoir du petit parfois un peu léger, au fond de la cour - jamais non jamais ils n'auront tant ris et pleurer de rire.

Dieu prions devrait encore les faire pisser ces gens, ; qu'ils chient - que ses messieurs, mesdames perdent les eaux de leur mères tout au devant du cirque de leurs pieds.

Soyons ravis néanmoins que les émoticônes soient un indice assez profus comme je le montre, pour dénicher les véritables lacunes d'un être à considérer ce qu'au fond il perçoit et auquel il est censé participer. Avec ces émoticônes on est à peu près sûr qu'on aura devant-nous un homme qui bande la nuque en arrière ou une femme tout à fait frigide. Rien de moins.