L'HYÈNE NABIENNE
- Venehon
- 2 janv. 2022
- 7 min de lecture
22 avrim 2020
« Ces peintres qui s'efforcent d'oublier de peindre, ces chanteurs fiers de ne pas savoir chanter, ces écrivains qui font semblant d'ignorer le style. »
Paul Morand
Dieu de nom ! C'est que David le partageur de faux-col me voudrait sinon-quoi ? Que je lui donne une autre fois les quelques leçons de littérature !
Il continue, et sa Vespérine me sucre les yeux ; il me fait une place dans son Journal de rabot et jour à jour il m'enrute dans ses orgies de confiné - il ponctue ses aigreurs encore de n'avoir rien accompli que d'avoir été le chambellan de Nabe ; il s'évertue à trouver dans son écriture ce je-ne-sais-quoi qu'il le ferait enfin concourir au prestige.
Moi donc ! Toute billevesée déjà coniquement renvoyé à qui-veut ! Je n'ai rien demandé de ce cataplasme dont il m'enduit par ses mains de fille-à-joie ; mais qu'en voulez-vous ? On sait bien que son esprit à besoin de ses interactions qui le laisse immergé. Et de payer sa mine avec les orfèvrerie de ses lecteurs ! Sans quoi, l'estropié et son esprit comme sa chaîne ; le ferait rouler aux abysses.
Je sais bien ! Je vois toute sa figure de fournisseur d'ennui ; replètes ses joues, qui accueillerait toutes les compromissions de sa féminité . Je l'imagine avec son air de sérieux échaudé - comme je le vois bien le front sur le tapis - lui, en accroupissement pour son Dieu de séjour - à sa mosquée de chambre et bien entre ses cuisses et son crâne sur le sol ; son ordinateur portable ! Il prie et il écrit tout à la fois !
J'aurais un peu de mal aujourd'hui ; non pas à repasser les creux à mon cher ami Vesper ; mais à écrire tout à fait - chacun donc à ses jours sans !
Vous aurez alors ce que vous aurez ! Qu'il me pardonne mon si bel admirateur ; ce cheveux-longe qui n'attire pas les femmes et c'est pourquoi, il ne faut pas redouter David, l'un de ces jours ; et comme ton sieur Gabet - camarade trompettiste (qui écrit, Dieu, si mal ! Comme un enfant !) ? On te demandera, tandis que tu auras à prier ton prophète - s'il serait bien possible, par amitié, de te retrousser par derrière quelques-peu les testicules - afin que les longs pénis de tes envahisseurs de cordées puisse atteindre à la bonne franquette, ta bouche sirupeuse !
Allons ! Désormais que l'attention est permise, j'entre à vif dans le sujet qui me requiert ; David ! Ne va pas si loin, reste. Ne me fais pas faux-bond déjà que tes mensonges t'ont éloigné de mes justes reproches ! Reste donc ! Mon cher, quelques instant.
Je ne supporte pas bien-sûr tes petites manies de bouche-cousue mais je fais avec ; je n'aime pas entendre parler d'un homme sans y voir sa réponse ; procédé pour les basses-cours dont tu sembles aimer et l'endroit et l'envers - mais, aprés-tout - je te donne bien raison ! Ce qui compte ce n'est pas la vérité de Chateaubriand, c'est ce que Chateaubriand à fait de Chateaubriand ; il en va de même pour toutes les sottises bien merveilleuses de Casanova ; cela m'irait, moi, la fable - si dans ces heures perdues que je prends à te lire je ne m'étais pas en fait aperçue que tu étais un peu attardé. "Le coronavirus, quelle affaire !" Mon Dieu, on croirait à tout donc sauf à une phrase d'écrivain - je ne suis pas bien-sûr qu'un jour j'ai pu entendre, en une seule phrase - même Angot nous redimer cent-fois sa gorge aussi niaisement.
Tant-pis pour ta littérature que tu aimerais aussi importante ! Aprés-tout, toi qui n'en as aucun c'est bien la plus simple des choses que de tirer à bras-le-corps sur la déjà très éphémère vivacité du style. Tu fais bien des politesse à tes petits-défauts ; tu croupies à tes geôles sans oublier tes pelochons - hélas, un de ces jours et si ce n'est la postérité et l'altercation de ton ombre qui t'apprendra ton lieu soudain ; tu te feras toi-même la réfléxion "Pourquoi n'ai-je pas écrit ?"
A qui veux-tu plaire Vesper ? A tes barbares qui paraissent par tout les enclos de l'Afrique ? A tes Français de souche, écoutant avec déférence toute la musique des nègres anciens chausses-pieds ? A tes Français de la bonniche ambiante ? Je te demande et pourtant tu n'y connais rien ; tu n'y vois rien - puisqu'en vérité tu n'as vécu qu'en ce petit bourgeois mis en pli.
Ton sacré de l'Islam, tu ne le vois pas acclimaté à un dégré-nord de la bêtise ; tu ne le vois pas en synonyme avec toute cette crispation Américaine dont tu es bien l'accusateur ? Mais donc, que vois-tu Vesper ? Sinon tes vidéos Youtube et tes égorgements de Caïds qui se passent de frissons à des gens qui, bien en vérité - seraient des gens normaux.
Mais il faut dire que ta condition de couvert argentée ; réclame tout ce besoin d'être un dos de cuillère - tu as besoin de cette lichée mon Vesper, de jouissance importé !
C'est que Vesper se prend pour un radical : c'est qu'il voudrait devenir l'un de ses fruits à un arbre qui est devenue un abat-jours ; devenir ou nourricier véreux ; ou colchique; fleuron de loup.
Mais non ! Enfin Vesse ! Tu n'as rien de ses petites obsessions qui te pousseront à maudire le monde entier ; tu n'es que pourvu d'une aile de pigeon ; à col blanc, à bout rouge ; tu n'es qu'une posture de plus aux tréteaux des polichinelles !
S'il devait y avoir un seul homme ; oh Dieu ! Dans ce coinstot de la littérature ; qui devrait être au prise avec la fournée Nabienne - qui pourrait de lui seul devenir de ses camps d'externalisation ! Dieu que ce serait moi.
Et je n'en ai aucune félicité : je n'en ai aucune à ce qu'on me rapproche d'un écrivain qui aura su duper tout les lecteurs ; en nous parlant de son amertume !
On aura bien cru l'infâme qui nous aura dit bien des choses ; nous aura parler sans aucun autre sujet ; de son oubli. De son "trou".
Qu'importe !
Le Vesper, au bas de la banlieue Nabienne ; au bas d'une allée ; et qui comme de ses recouvreurs de quartiers ; ait posté sur une chaise (volé à la mairie !) - et qui fait le guetteur !
L'extravagarde, le troupier David et qui se croit bien légitime à damner la profession séculaire des éditeurs impurs ; tandis qu'il n'aura aucune difficulté à jouer ses dames au-dessous des robes d'un Sollers ! On lui fera bien des amitiés ; bientôt Vesper sera Goncourt ; il écrira de ces comédies populaires (bourgeois voudrait sortir de son hôtel particulier) - il prendra non pas la beauté comme réfléxion ; mais à-priori comme la nourriture chéri des chiens-de-garde ; l'intellect ! La philosophie parmi les Logan Paul et les Heidegger ! Tout ce miroir de Jadis qui ne donne pas un seul absolu !
Regardez-moi son écriture :
"Qu’est-ce que ce serait grandiose si les Arabes des banlieues, gavés par le confinement encore plus sévère que leur confinement habituel, se mettaient à sortir en masse pour aller punir les flics, cette sous-race éternelle ! Des enlèvements de flics à qui ils mettraient des matraques dans l’anus pendant qu’ils leur couperaient les jambes avec des portières de voiture, le tout avec des masques de chirurgiens coincés sous les casquettes et les undercuts plus très frais : j’adorerais ! J’ai de moins en moins de patience avec les esprits salauds qui continuent d’avoir des circonstances atténuantes pour ces chiures de policiers. Je n’ai plus que de la haine pour ceux qui les défendent carrément par racisme primaire. Je n’ai jamais eu besoin des bavures pour les vomir, ces ordures policières."
Et tout au plus Vesper voudrait se croire véritable : comme il jouirait cet infâme de revoir une fois encore des Bataclans ! Cet infâme parcoureur de Nicée. Notait bien donc la phrase "des undercuts pas très frais" - voici la vulgarisation d'un sodomite. Et encore, Marien lui-même sait user de ce mot à bon-propos - lui et son serveur n'est-ce pas ?
Je ne pensais pas tout de même, à mot juste, que Vesper fut devenue Schiappa ; et qu'avec un peu de violence mal-faite par les cerveaux en sens-giratoire des bougnasses ; ont puisse à ce point soumettre un cul.
Le bien-pire ! C'est qu'à longueur de phrases, David donne des raisons énormes à tout les racialistes qui ne supportent plus le vivre-ensemble ; pour aller rejoindre Jawad (logeur de Daech) sur son balcon juliettillique : "Les moments passés en sa compagnie, quoi que quiconque puisse en penser, me manquent."
C'est qu'ils aiment tant David, les arabes de compagnie ! Et pas de petite-compagnie j'entends bien ; mais plutôt de celle des crapules ; de ces siesteurs qui n'en diront pas plus : mais dont on trouvera aprés-coup, comme le Genet que David lit à toute force, de la vaseline dans leur "undercuts".
D'ailleurs, pourquoi lire Genet si ce n'est pour le style qui ne t'importe pas ? David, allons ! Dis-nous ! Révèle-toi au monde David ! Sors de ta parenté ; fait à ton tour un Pornabe où tu te ferais enculer par Zanini !
"Toujours est-il que je me suis retrouvé dans un Uber avec Julien, en pleine nuit, direction le fin fond de St-Denis, directement face à l’immeuble qui abritait les terroristes et avait subi l’assaut du RAID, chez Jawad. En quelques minutes, j’étais dans sa chambre, assis sur son canapé. Scènes irréelles, inquiétantes, stressantes, presque dangereuses parfois, où j’ai dû utiliser tout ce que j’avais de sang froid et d’intelligence pour parvenir à mes fins et surtout m’en sortir tranquillement."
Voyez ! Rien ne lui suffira pour comprendre que le vivre une fois est une expérience ou une aventure ; le vivre en y vivant tout les jours est une abomination. Mais comprendras-tu un jour les racistes ?
Bon, tout cela m'ennuie - tu as bien une chance Vesper qu'aujourd'hui je ne sois pas bien en verve ; et que le Quarantain me déforme à loisir ! J'aurais dis bien des choses encore à dire sur ton Islam, ou tes arabes de Loggia ; ou de ton abandon de la patrie. Même pas !
Ce je ne sais-quoi !
C'est horrible que lorsqu'on pense à sa couleur de peau, l'on se fourvoie en patrie.
Tout cela ne serait pas bien venue si seulement tu aimais les peuples ! Comme ton Nabe, tu as la bétîse de croire que Dieu ou Allah est unique ; et qu'un Arabe, un Perse ont à la même heure, au même levé, à la même prière - la même façon d'adouber de leurs Dieux.
Tu crois tes livres d'écolier qui te parle à ce point de Monothéisme ; et tu connais bien peu la théologie. Sans quoi tu te dirais bien que Dieu est un courant.
Et qu'il change à l'usure des nations.
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