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Henry War n'existe pas

  • Venehon
  • 25 févr.
  • 14 min de lecture

Dernière mise à jour : 26 févr.

addenda : Puisque monsieur m'interdit les captures d'écrans de nos conversations personnels ! je me vois dans l'obligation de tout passer en guillemet, ce qui n'avance à rien, bien-sûr, sinon qu'à rassurer les tempéraments (dieu veuillez que les hommes soient moins dramatiques !). Alors cher lecteur, sache donc qu'ici bas je ne peux rien soutenir et que par conséquent, je suppose, que monsieur War pourrait, éventuellement, m'avoir ou me tenir ses propos. Ce qui bien entendu n'est pas véridique, puisque, comme tout le monde le sait, Henry War n'existe pas, et que je suis Henry War.


On ne devrait pas attendre de dire aux gens les choses que nous voyons les diminuer.

C'est ainsi qu'avec ce grand monsieur Henry, j'ai toujours été bien-gentil, bien-aimable, bien disponible.

Et voilà ce je-ne-sais-quoi qui parvient à sa tête, je lui conseille la lecture d'un livre que je crois et que je sais proprement littéraire - en somme, tout ce que dont notre génération vient à manquer ! - il lit alors, aussi courtoisement et, comme une obsession - nous publie sa petite critique foutrement disserte, ou "diserte" comme nous le propose notre ami.

Voici la critique pour que vous puissiez en jugez :



Voilà cinq-ou six pages word durant laquelle il tourne en rond, il revient sur des points qui sont toujours les mêmes - c'est que monsieur "controuve", qu'il circonvolue à chercher le "bon-mot", la pointe, la bonne nuance qui le verra bien être satisfait de ses dires - dût-il inquiétait son lectorat sur le million de pages sur lesquels il voudra que nous nous attardions.

Alors je le connais bien cette impossible messire ; je sais bien qu'elle sera sa réaction et ce qu'il aura à dire : "pourtant j'en ai eu des nuances ! et des révolutionnaires, des qui-vous-sont passés sous les yeux !"

C'est qu'il croit Monsieur War, que les gens ne lisent pas ou qu'ils lisent mal ; tout en oubliant de nous avouer qu'il est à ce point mauvais lecteur !

Car monsieur "diserte", oui, tout en se servant sans mal, sans scrupule de tout les sophismes de diversion, ou d'omission - en somme nous trouvons bien de la manigance dans toute sa critique puisque, comme je l'a crois très appuyé - elle ne dit pas ce que monsieur Henry avait à l'esprit en l'a rédigeant.

Toujours cette manière de ne pas entrer, de laisser de côté ce qui l'indispose mais, puisque je dois le dire, de ne pas cacher son excitation en bisebille, en sous-main, en privé.


"ça ne veut rien dire : ce que vous avez lu de moi, c'est ce que j'ai publié."

C'est que dans son grand-oeuvre de vérité ! monsieur War ainsi nous fait ses courses, il remplit plus ou moins son panier selon ce qu'il croit être bon à dire ou ne pas dire. Ainsi il ment, il omet, il se conserve - il ne se montre à vrai-dire que sous un jour qu'il crôit le favoriser. Ainsi, il suppose beaucoup en public ! comme il est simple n'est-ce-pas, de supposer, de "laisser-penser" - c'est que monsieur War n'est pas moins qu'un tableau de maître moderne ! et pourtant comme il se laisse à ses penchants une fois en privé, il se "laisse-aller", veut savoir et veut qu'on lui confirme de manière moins risqué pour lui, ce qu'il se félicite d'avoir trouver "au fond". Il veut, monsieur War, que l'amitié dont on le couvre, soit surtout un aveu de ses catégories.


"parlez moi de Gonzalez un peu franchement. / j'ai lu 630 pages de "lui" / c'est assez, je pense, pour mériter un peu de franchise."

Ainsi, monsieur War, après m'avoir cru Marien Defalvard, un certain Esposito ! m'a ensuite cru devenir Eddy Gonzalez.

C'est un faux en écriture, Henry. Tu sais bien que tu as fait cette critique avec des arrières-pensées sans nom ! sans aucune objectivité sinon celle que de suivre des indices qui te ménèraient à me dévoiler.


Je n'aime pas que vous pensiez que je suis si mauvais lecteur / que je ne verrais pas votre écriture dérrière son livre : c'est désobligeant.

Comme c'est simple n'est-ce pas, de faire des clins d'oeils sous prétexte de nuances, d'achalander une attention - de ne pas dire, de cacher ses intentions dans les futaies des phrases, sachant que celui auquel on s'adresse saura y lire ce qu'il doit y lire un peu de manière finaude. Monsieur de War sait bien que je suis un lecteur de Montherlant, ainsi en dessous, il nous en parle tout en nous accouplant, procédé sophistique ; d'une note d'intention aux "spécialistes" (dont on se fout soit-dit, mais dont il se préoccupe ? Que viennent-ils faire là mon cher Henry nos spécialistes ? Se préoccuper de lecteurs, vous qui ne vous : "mêlez jamais - jamais ! - de l'effet que je vais produire." - je vous trouve ici cornaqueur !) pour que son "choix" paraisse volontaire et donc indiscutable - et non simplement intentionnel.



Car c'est tout du long de cette critique qu'il ne cesse de vouloir jouer des coudes, se rapprocher de moi, tenter de me saisir au vif - il tourne en rond, il frappe dans le vide, il ne dit rien ; ce serait comme faire la critique d'un fantôme puisque :



Vous comprendrez donc que c'est moi qui suit l'auteur qui ressemble à Eddy. Et ainsi, une fois encore, l'on fait de petites-phrases choc, avec de petites consistances publicitaires "une information capitale ! fondamentale ! symptomatique !".

A peu de choses près on se croirait à la une d'un journal télévisé. C'est triste, Henry, de persister dans sa bêtise, dans son idiotie. Et "d'attribuer", comme tu le dis si bien :



Mais plûtôt que "d'attribuer", qui ne convient qu'aux seuls philotropes un peu éperdues et ce problème que j'ai avec ces tantes philosophes est telle qu'on est à choisir, lecteur, entre Charybde et Scylla : Le problème c'est que je n'ai pas besoin que les gens me précisent quoique-ce-soit, et lorsqu'ils sont floues, ambigus, peu claires - je devine "par instinct" ce qu'ils voulaient dire tout d'abord. Voilà peut-être pourquoi notre "système de pensée" est si différent mon cher Henry. Ainsi, je n'ai pas non plus besoin de préciser telles ou telles parages lorsque j'écris, je ne ressens pas le besoin d'ouvrir toutes les portes, de guider ad-hoc mon lecteur toujours solitaires, de l'indiquer puisque voyez-vous, je ne suis pas cet "égocentrique" qui ne supporte pas que l'on dévie de son chemin.

Donc Henry de la Palisse. Plutôt que "d'attribuer" pompeusement, j'irais plutôt distribuer, comme je suis à la foire aux gros, Henry, et que tes "nuances" ne sont bientôt en vérité que des manèges. Tu deviendras donc le temps de quelques tirades, puisque tu sais bien que j'ai étais comédien - mon objet de sévices !



Il sait que j'ai étais comédien, et donc, il indique ! il dissémine comme le petit-poucet des fables ; ces constatations. C'est donc que cette critique faussaire n'est rien tant que ces romans à clés que notre Henry à en horreur. Et cela, habilement, il le cache et il écrit toutes ses petites choses à mon endroit, croyant que je lui doive une vérité. C'est assez Henry que ce rapport faux-cul à la réalité et à ton grand-désir ! si adepte que tu es donc à l'usage des trois-petits-points, pour ne serait-ce que "tenté" les gens. Car les trois petits-point ne sont la ponctuation que des faux-modestes, que des gens qui ne savent pas affirmer en clair qu'ils se trompent ou qu'ils ont raison.


Ici encore :



Lorsqu'il écrit "drapeaux étranger" - il critique que je choisis désormais d'écrire en anglais, puisque bien plus satisfaisant, que les Anglais sont bien moins regardants sur la langue que cette langue de pingres - et qu'il y'a plus de chance de s'y tailler une place. Mais pourquoi ne le dit-il pas honnêtement Henry ? Pourquoi n'écrit-il pas une critique sur moi, plutôt que de servir du prétexte insane de ce cher Eddy ? Pourquoi prêche t-il le faux pour avoir le vrai ? Pourquoi ne vous fait il pas lire, ce qu'il faut lire ? Pourquoi manque t-il de vérité ?

Ah diable ! revenons un peu sur l'historique, car monsieur Gennaro Henry est un père-sans-mémoire et que je n'en manque pas au juste ! Je l'ai plus d'une fois pris à défaut et très-récemment pour ne pas nous en aller trop loin ! Je le voyais fleurir des critiques basanières sur mes "preuves". Il disait que mes preuves sont "piteuses" et me "démasquent" à la manière de ce monsieur de la Tonfaine avec qui j'ai eu fort à faire. Hors, Henry, avait plus d'une fois assisté à mes endimanchade avec ce seigneur ! Plus d'une fois il était intervenu sur mes posts facebook, plus d'une fois il avait lu le nom de ce Monseignore - ainsi plus d'une fois il avait eu le loisir de retenir le nom de cet interlocuteur et ne l'a pas fait.

Lors de la même discussion, lorsque je lui ai parlé des protagonistes de mon canular, il m'a dit ne pas les connaître ! Alors que je le rappelle, monsieur War avait pris part, tout de même, ne serait-ce que de manière indéfini, à celui-ci !



Monsieur War, avait donc feuilleté l'ouvrage de notre bon Lucien d'Herville qui pourtant n'existe pas ! Il ne pourra pas dire cette fois que je lui ai menti, puisque je lui ai dès l'abord indiqué mes intentions et qu'il à trouvé le moyen, voyez au-dessus, de venir plaisanter avec moi sur le dos des barbouzes de la littérature. Mais surtout monsieur, une fois encore, n'a pas retenu les noms des gens auxquels nous nous adressions - ce n'est pas grand-chose j'entends, mais c'est indicatif. La mémoire de monsieur Henry, dans toute sa morgue ; cet homme qui se targue pourtant de sa constance, est surtout ce qui défaille. Il n'a pas assez de mémoire pour se souvenir des noms, ni de ce que les autres écrivent ; ni même de ce qu'il peut écrire. De ce fait il ne "comprends" rien lorsque je lui parle de certaine choses, et c'est de ce manque - et je crois moins de mémoire, que de considération, qu'il ne parvient pas à tirer les raisons de ce qu'il me fait parler de tel ou tel, ainsi, il me croit par trop "évocateur" ou jouant le grand "mystère".

Hors Henry, je ne suis pas un homme à fables - j'ai toujours dit que les romans mentaient, que je ne supportais pas qu'ils me fassent cocus aux possibilités de la vie. Ainsi pourquoi j'en ai écrit si peu et qu'ils m'ennuient lorsque je m'y attable, pourtant que j'y vois une grande ouverture.


Pour que les choses soient plus simples : je vais donc reprendre point par point, les critiques qu'il m'a faites et qu'il croit à ce point fonder, et surtout si différente de sa "mentalité". Voilà bien une décénnie sans mentir que je n'avais pas entendu une personne nous parlait de "mentalité", mais voulez-vous Henry, parlons plutôt de cette nature replète qui, certes, nous différencie ; vous me croyez disposez à choquez, et que j'y trouve une certaine gloire ! c'est un mensonge encore, c'est que moi, voyez-vous - je ne trouve rien d'assez important que je puisse omettre comme vous faites au mieux de maquiller vos phrases à telle points que leur compréhension relève de l'initié ; et donc, mes sujets ne sont pas des anges, oui - puisque je ne tiens pas à faire de mes livres un Jésus, ni même un diable. J'entends parler de ce qu'il faut en effet dire, peu importe que ces effets soient malveillant, ou mal-vu, mal-entendu, mal-perçu dans notre si modeste société, qui aime tant cela dit, être modeste ! C'est un peu sa manière de république.

Mais reprenons.


"ce but me répugne assez. / ce désir de gloire, de bon-mot, de trait-d'esprit frappant / tout ce qui me déplait dans la littéraure française / et qui finit par n'être plus qu'une parure."

Voilà tout ce qu'il me reproche, la gloire et la langue ! Ce n'est pas un petit morceau. D'abord ces gens font passer pour le défaut des gens ce qu'est leur impotence.

Ensuite je ne comprendrais jamais qu'un écrivain s'agace à la connaissance des "bon-mots", "mot-d'esprit". Si tant est de plus que j'y ai jamais versé ! - que je sache les écrire et frapper l'auditoire c'est une certitude, mais la destination que tu en fais Henry ? Croire donc que je chercherais à "impressionner" les gens, à "séduire" par des traits comme l'aurait fait un Ridicule ? Non, vraiment - c'est faire un mauvais procès encore d'une énième incompréhension. Et cela se vérifie assez honteusement dans le fait que je n'ai jamais aucun succès ; mes "bon-mots" seraient donc assez bons pour que tu les trouves telles ? Mais assez mauvais pour manquer leur cible et l'attention des autres ?

C'est d'abord oublier mon essence aprés me l'avoir reprocher, je suis un comédien d'exigence. Oui, j'écris des répliques et c'est le monde, non la mondanité, et personne d'autre auquel j'intercède - ainsi, si je devais écrire des "commentaires furieux" comme tu me le dis. Je n'écrirais donc pas souvent mes "ils" au début de mes remarques. Puisque je crois bien vite qu'un caractère singulier, devient la norme et la personne qui se trouve au dérrière ne m'intéresse pas beaucoup.

Je crois que le monde est un théâtre, oui, ce pourquoi j'en fais des coups, des canulars puisque ce sont les enfants qui maudissent ainsi : et je n'aime pas beaucoup le sentiment des autres. "Tout est sérieux avec vous, Gennaro".

Tout est sérieux avec vous, Henry.

Et ce désir de gloire donc ? C'est à moi que l'on fait la morale sur ce point ?



On ne m'a jamais vu m'enthousiasmer en une semaine pour la vente de deux exemplaires ? D'ailleurs, m'as-t-on jamais vu pousser mes livres sinon que par dépit et avec si peu de volonté sinon que par le culot ?

Car c'est ce qui te gêne au fond Henry, le culot avec lequel je surnage, et c'est un peu mon outrecuidance qui jure avec la piété dictate de ton "humiliation."

Ainsi, le monseigneur Henry que j'ai vu plus d'une fois fustigeait toute espèce de croyance, fausse-croyance, catholique ou non - c'est ainsi que je te trouve plus Christique que le Christ.

Cela endommage partout les gens, dont je ne te croyais pas être - que nous ne voulions pas nous rapiéciait pour nous faire leur chemise.

Comme je l'ai souvent dit et comme je l'ai repété Henry, j'étais un humble qu'on a humilier.

Que le monde et tes "mentalités", morales ou façons d'être n'attendent donc jamais que je me conforme à leur prébandes - ce ne sont pas même des songes qui m'interessent. Je ne me veux pas la vie modique d'un hérisson et c'est par tout les moyens que je me chercherais à inciter les gens, non pas comme tu le fais en "attendant" que les moeurs evoluent, mais en les forcant. Oui, Henry, je forcerais la main aux choses. Je les "frapperais". Je leur serais bientôt l'évidence. Et je ne veux pas me contenter du "peu" que les gens ont à disposition. Je veux tout leur prendre pour tout leur rendre ; puisque j'estime que mon intervention sera la bonne, puisque j'estime que la rage que je leur présente n'est rien moins qu'une formulation de la vie, et la princière, pas une autre.

Tu voudrais donc que j'ai plus d'égare à ton encontre pour ce "que tu es", "qui tu es".

Non, Henry, ce serait bien lâche que de te donner du grain à moudre et d'aller dans ton sens - tu es un égocentrique, il n'est pas bon que les gens tournent autour du pot, je préfère que les choses tournent au vinaigre.

C'est toujours à la ruine que l'on doit l'éléction. Ce n'est jamais à ses rodomontades, ces fratrie, ces maquignes - ce n'est jamais à l'homme ni même à Dieu que l'on doit de parfaire, de souscrire, d'étendre ou de désigner.

Et moi, vois-tu, je ne sers qu'à se rendre compte ! Je n'ai pas dit que ma gloire ni mon destin ne serait anthume - ni même que j'aurais un jour quelques succès littéraire - je sais en revanche qu'il y aura quelques réussite de ma vie, sur des sujets qui peuvent être ou non parallèlles. Et je tiens donc sans considération, tout au livre que j'ai en tête et que je n'écris pas certainement par la déconvenance qui est d'écrire.

Ce n'est pas moi mon cher minaudeur - qui aura pris ses places pour plusieurs foire aux livres ! ce n'est pas moi que l'on a vu parader tout en froc et chemises, dérrière un stand - ce n'est pas moi qui a publié tout ses livres sur Wattpad, ce n'est pas moi qui essaie de faire croire qu'il n'entend rien à ses offices et qui pourtant se dédit à deux-jours près, si bien qu'on y voit pure fatuité, pure modestie feinte, et très loin d'être voulue.

Ainsi mon cher Henry, tu es pessimiste par nécessité, sans quoi tu ne pourrais rien faire entendre de tes catégories, de ton attirail "scientifique". Sans quoi tu serais aboli, de ce que dèja, tu tiens si peu, et c'est parceque tu es frêle et au fond trop fragile, hypersensible - que tu bombes le torse et la syntaxe à dessein de te remettre en jambe.

Tu mimes d'être peu sympathique, grave, de manquer de tout ce que le genre humain conseille bien bas pour minauder avec le monde - et pourtant dans tes stands, tu ne fais pas tant paresse de la parure, du collier des mondaines. Ici tu n'es pas ce Gennaro qui s'endort au bal.



On a le sentiment d'un homme qui ne veut pas qu'on le ferre, mais qui ne s'embarasse pas à être un poisson quand il le faut. Mais je te vois, ô Dieu, je vois au milieu de ton être Henry, j'y vois mieux que tu ne peux y voir.

Et aussi ? Dira-t-on monsieur Henry ? Moi ? Je n'ai jamais fait de concours d'écriture, je ne me suis jamais laissé maquigner la tête de ces naivetés sans nom et qui sente, comme on dit, la naphtaline - tu professes souvent que tu es "retardé", je crois en effet que ta mémoire étant ce qu'elle est, ne te permets pas d'être au temps comme un autre. Je crois que tu avances bien lentement, et ça ! Que peut-on contre cela ?

Tu n'auras qu'à être triste et résigné, tiens ! C'est mon conseil. C'est celui qui agrandit l'esprit n'est-ce pas ?

Mais tu verrais plutôt une manière d'insister en tes dispositions, je le sais. Et je crois mon cher, que si approfondir c'est plonger la tête sous l'eau pour s'y noyer. Je crois bien que cette foire n'est pas de nature.



Et vois-tu, cette manière d'envisager ton site comme une vitrine ! et c'est moi entre-nous deux qui serait la tapeuse ? C'est moi donc qu'on verrait cul-nu à faire le trottoir pour qu'au passage, un honnête passant échange à deux euros mon cul aux hormones, et me turlurupine ?

Allons ! Tu ne trouveras pas de telles phrases éphèbes sur toute ma production.

J'ai à peine, voyez-vous, échouez mon vice à quelques commités - et pour être plus honnête, le premier livre des miens chez le Pont de l'Europe ? c'est que l'éditeur me voulut son enculé ! j'étais joli, c'est vrai.

Mais tiens mes autres livres ?

Avant la matagrabole, mon Botal ? Livre érotique et dieu sans époque assez noble pour lui ! Je l'ai envoyé chez la Musardine sans qu'on ne me fasse jamais une réponse. Je les encule. Voilà ce que je peux faire de mieux.

Je les "frapperais" autrement. Puisque mes livres ne sont rien tant que des jurons. Je n'y peux rien, je n'ai jamais cherché à plaire ou déplaire et je me crois assez à l'abri de toutes dispositions mentale, même de celles qui m'ouvriraient leurs mains ou prophéties, pour que je me sache assez cafard en mon être, assez liquoreux ; que je puisse mesurer mon livre à leur patrons.


"ne me dérangez pas avec des manières présumées d'atteindre la publication : / je ne veux pas être publié."


Voyez ! encore, toujours la contradiction ! Ce sont des discussions que vous trouvez indigeste, puisqu'en vérité vous êtes indisposez. Vous ne tiendrez pas à l'obscurité et vous ne voudriez pas être publié ?

Avouez qu'en plus de tout ce que j'ai montré au-dessus, cette position soudaine ne tient jamais.

Enfin, je dois finir - je me lasse.



Ce n'est pas moi Henry, entre nous, qui ait cherchait à m'ennoblir de toutes les manières, croyez-le bien et j'apporte de quoi le redire :

Je n'ai pas créer voyez-vous de fiche wikipédia en mon pseudonyme. Ce pseudonyme qu'il vous faut changer Henry, je vous l'ai dèja dit. Si personne ne vous lit c'est peut-être à cause de ce qu'ils ne savent pas qui vous êtes, d'autant plus que ce pseudonyme n'est pas crédible, ne fait pas écrivain, mais fait à peine youtubeur qui n'aurait plus l'âge pour ses choses et qui garderait au fond de lui un petit sentiment, bien que d'aînesse, pour la mélancolie de son enfance. Ne faites-donc pas de votre pseudonyme un personnage, un hommage donc. Laissez donc comme vous dîtes : "l'hommage à ce pauvre ingénu."

Je fais de même.


PS : Au-dessous il avait fait la promotion de ce mauvais livre. Tandis que pour Eddy, après m'avoir dit : "qu'il est d'une certaine importance que nous nous fassions mutuellement un peu connaître".

Il m'a dit : "ne comptez pas sur moi pour en faire la promotion".

Comme si tout d'abord je lui avais demandé, comme si ensuite il en allait de se compromettre de par sa grande célébrité, qu'il ne puisse pas s'acoquiner avec le tout-venant. Hors monsieur Henry War n'est célèbre de rien, ni même riche de son intégrité comme vous le voyez. Puisqu'il a incité à acheter un livre qu'il n'estimait guère. Surtout que le livre d'Eddy n'est pas mauvais, lui.



 
 
 

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