Le libéral qui ne voit pas le plus infâme socialisme dans le hierarchisme des entreprises, le diplômât à tue-tête, les loyers, les permis de construire et tant d'autres petites normes de pourritures agrégatrices qu'il serait bien vertueux de crever jusque la dernière miette, est alors bien hypocrite et protège son porte-monnaie qui n'est pas loin d'être son cordon social.
Penser que ces manières de menacer, de faire taire ; de se comporter d'une manière à "manager", de faire silence radio aux demandes d'un employé ; quant à ses plaintes choisir de croire à tout pris son supérieur tenue pourtant d'être exemplaire : considérer que l'employé qui abuse de sa faveur naturelle à l'encontre de ce potentat de chiqué est pris à défaut d'insubordination ; d'un comportement qui ne tiens pas du réflexe de se rabaisser à toutes les petites besognes au bon vouloir de madame sa n+1 qui ne sait pourtant pas écrire un courriel un peu réfléchi et n'aura profité dans sa jeunesse que d'un climat de jachère très-avenant à l'ouverture d'un poste pour qu'elle puisse y mordre toutes ses dents de lait ; madame désormais devenu cheffe en cheffe se plaît à se croire le héron qui vole au-dessus des océans ; n'aimant pas qu'on lui prit du haut de ses grands vents, quelques petites plumes mal-piqués.
Alors elle se réfère à toutes ses façon de nuire à un employé aussi mal-éduqué à l'ordre de prêcher la grande mère.
Des avertissements, des plannings s'ensuivent. Des mails secrets, les codes des caméras détenus comme seul profession d'accentuer encore l'étreinte et la querelle.
Le libéralisme qui prend partie arbitrairement est un socialisme qui ne dit pas son nom.
Penser que les diplômes serviront à qualifier les masses ; les tenir prêtes et loisibles à pianoter une caisse de supermarché à la vieille escrime ; par ces manies de chercher une convention en toute choses, préférer en somme le cerveau préfabriqué à la mode Jeep logisticienne - plutôt que de s'échiner à prendre au cas par cas, prendre le temps (qui est parfois coûteux pour le bon) de se rendre compte de telle main d'un employé, telle attention porté à ces idées plutôt intéressantes ; plutôt que de promouvoir auprès de lui des méthodes par trop évangélistes, des procédures de conduites ; ses façons étudiés soi-disant par des savants en âge de processer.
Nul ne doit déroger à la règle établie.
Nous formons donc aux petites inscriptions détaillés en bas de page quant à l'usage très-commode de cette lotion pour les mains.
Nous créons pour se faire des catégories créatrices de bien-être, de savoir pour le moins très-savant ; élaborons des ingénieurs en friperie ; en branchement de probiotiques ondulatoires, ingénieur en mécanique social - et dieu sait quel merveille de la maturité soi-disant libéral !
Agir ainsi au mépris de toute préséance naturelle ; concevoir des politiques d'approche, d'appareillage, contenir sa masse salariale et par cela même la collectiviser et la moudre dès le début comme s'il en allait d'une ressource comme une autre : c'est encore nier toute l'intrigue de la liberté que se doit d'avoir en but premier le libéralisme.
Que l'homme libre qui choisirait de proposer ses bras pour le travail de la nation et la productivité de son entreprise ; doive encore en fin de mois rendre des comptes à son propriétaire à qui il n'a jamais adresser la parole que par le biais d'une agence commandité à la tâche ; qu'il doive user de la moitié de son salaire pour engraisser les draps d'un éternel croquant ; rien n'est moins libéral que la mise en location qui n'est en fait que la grande manne des plénipotents - les thésauriseurs baleiniers qui possèdent à eux seuls des parcs de locations qui n'encourage à aucune autre valeur nationale qu'à celui le plus chiche que de bouffir un peu leur porte-monnaie.
Je crois paradoxale pour une approche vraiment libérale que de défendre la propriété privée comme un principe fondamentale et tant-soit peu émancipateur, et d'encourager au même coup l'emprise des "propriétaires". Le propriétaire prive de la propriété.
N'existant pas de propriétaire ou de locataires, il n'y aurait pas de discours quant à ses marchés secondaire ou de secondes main ; ses logis capitaux, de provinces et autres ambiguïté.
En interdisant la mise en location, le marché immobilier pourrait se concentrer davantage sur la vente de biens, rendant l’achat de propriétés plus accessible pour les citoyens moyens.
En interdisant la mise en location, on pourrait encourager les individus à investir de manière plus directe dans des entreprises ou des projets qui créent de la valeur ajoutée et stimulent l’économie, plutôt que de simplement percevoir des loyers.
Supprimer de même les différents permis de construire : qui ne prévaut de rien sinon pour une mairie que de tenir les rennes du sentiment de sa nation.
C'est en appliquant ces petites choses que l'on permettrait à l'homme d'être libre à sa pleine initiative ; qu'il puisse répondre enfin de son existence.
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