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As-tu peur d'être grand-remplacé ?

Venehon

Mille fois que nous entendons la rengaine de nos entremetteurs ! Ils nous disent ces adorables perspicaces que nous serions nous autres ; tout à la fois effrayés et sous la coupelle. Que nos cerveaux par les diffêrents parties politique qui "prônent la haine" seraient des cerveaux très primaires et qui ne réagiraient ô diable que par l'émoi.

Mais faut-il voir plutôt parmi leur rang que ces messieurs dames qui nous pensent à ce point dénuer de raisons ; que nos opinions ne seraient encore que des façons de réfléxes ; faut-il voir chez nos agrégés ; chers philoclames et consorts - leur passement bien intestins et qui leur permettraient selon eux d'être des hommes qui réfléchissent.

Mais c'est peine perdue que de trouver les fortes têtes parmi les écumeurs de la gauche.

C'est nous qui aurions "peur" de quoique-soit ; qui serions donc les "phobes" de pères en fils et de colons en colonne !

Dam ! Que la réalité sous leur yeux s'échevelle !

Car vrai ce n'est pas nous que nous voyons à ce point nous vautrés ; à faire la quémande à nos chers voisins, sortir les feuillets que sais-je, comme des témoins nourrir l'idée que mon zèle bien ami sera le terme de ma mission.

Ce n'est pas nous si faibles, que nous voyons pleurer le soir de l'éléction de Trump sur un plateau télévisé. Nous sommes formés au bassin, vierge de tout mandat - ce pourquoi nous ne nous affligeons pas des revers de la politique.

Ce n'est pas nous aussi ; le soir du second tour de la présidentielle en 2002 ; qui avions sangloter sur la litote : "Si le Pen passe ce sera la guerre civile !"

Oui, la gauche-castor qui depuis jadis à nos jours ; nous promets tous les cinq ans un barrage étoilé. Y seraient-ils logés à plus mauvaise ancienne passeraient-ils à fond dans les couchettes ; et plus à queue si bien que les ribaudes ; nos foutus gauchistes seraient aux anges à l'heure.

Et bien-venu alors nos passereaux ; les cinq ans passés dans les dents - comme ils sont des sacrifiés, des martyrs et qu'ils s'anussent comme de franc-hommes avec des larmes de gazelle - ils disent encore : "ce président pour lequel j'ai voté était le pire président de la république depuis des lustres, mais vraiment je vais revoter pour lui parcequ'il faut faire barrage à la haine".

N'est-ce pas assez dans cette petite phrase que d'une raison trés mis à l'encan ?

Il n'y a pas encore chez nous de ces contradictions pour homme transi.

Chez eux ; cette petite junte qui geint et qui a bien l'affront la très-chère de nous dire que nous serions les effrayés ; ce n'est pas moi qui prendrait la valise au soir où Zemmour serait élu ; ce n'est pas encore moi qui rêpète cette phrase pour bailler soit-dieu la chère démone qui aura couru ses trémolos ; je ne dis pas : "le racisme n'est pas une opinion, c'est un délit".

Cette gauche devenu exorciste ! Qui s'évite les petites frustrations ; qui tandem à deux ou milles pour ravacholer les inconvénients qui leur taraudent l'esprit.

Disons simple que certaines opinions peuvent être délictuelles et certains délits très opiniâtre ; mais c'est une bêtise que de vouloir mettre sur le même plan deux mots qui ne décrivent pas la même idée.

Enfin reprenons un peu le texte de Kery James "Le Misanthrope" J'étais venu pour cela ! Je passerais ses petits macareux de mépris ; sur la douleur qu'il pense très pauvre des grand-remplacés ; le jour viendra où sa vision mauvaise lui coûtera le prix d'un billet Air France.

"vos éloges sonnent creux, des coquilles vides, je n'y trouve point de constistance"

Ici Monsieur Pauly nous donne son interprétation : "Diable ! Qu'il est bien vrai qu'on écrit la belle langue du Grand Siècle à l'unique condition de grand-remplacer tous les "pas" et tous les "peux" par des "puis" et des "point" !"


"Vous qui ne distinguez point, entre l'artiste et l'interprête transparent.

Et la phrase est ainsi finie ; il n'y a pas autre-chose ! Il eut fallu écrire à cette vareuse qu'est le modèle exact ; non pas ami - rajoutez le "entre" mais l'omettre plutôt et dire : "vous qui ne distinguez point l'artiste et l'interprête..." ou bien encore "vous qui ne distinguez rien".

Ou bien Marquis "l'artiste et l'interprêtre, vous qui ne distinguez..." ou certes : "vous, l'artiste et l'interprête, qui ne les distinguez."

Enfin !


"je m'exilerais très loin de vous, que se couchent mes jours prés du soleil levant"

J'ai grand plaiser à donner mon service à ces prévoyeurs ; je ne sais leurs noms et qui s'occupent chez Air France du calendrier des vols ; auront-ils dans leur papiers, prévu un peu l'éléction de Zemmour et les petits déguerpisseurs que nous verrons alors ! Nos africains qui courent bien vite certes, mais pas au point de marcher sur les eaux ou s'envoler comme des oies !

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