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SALOPARDS !

Venehon

13 novembre 2019


Une fois encore l'ignominie à manger tant les miettes de nos rues pour que ses immondes bachis puisse se chausser en pleine aisance de toute leur dents d'empiffrés ! Ses adorateurs de prophètes enculeurs d'enfant ont gémis aux trottoirs !

Ils ne s'arrêteront jamais de livrer des chemins aux besogneux affairistes de la gauche - main dans la main ils brigueront le calice de l'Elysée, s'en gorgeront les pieds et mains, s'y nettoieront, y boiront comme d'une eau de bénis ! - leur prophète aura cent fois donné raison à cette effervescence de la conquête !

Ces salopards ! Plus ils vivent, et plus ils sont haïssable ; chaque mot de leur bouche est une insulte, chacun de leur pas est une invective perpétrée par des sots !

Jamais ô grand jamais, jamais plus on ne saura me demander le pardon ; la tolérance sortie une fois pour toute de mon espèce de langage, désormais j'accuserais ses arabes ; musulmans cafardeux à la traitrise !

Et même toute ma haine n'est pas encore appelé ; aux souterrains sûrement de mon esprit elle voudrait envahir ma conscience - un de ces jours crois-moi, musulmans fielleux ; invasive pestilence de la terre de mes fils ; si tu ne pars pas c'est moi-même qui te réclamera de mes vœux à t'endiabler les dimanches d'une ou deux fatwa d'occident !

Salopards ! Tu pries les rues, tu donnes de tes mots ; tu conspues le deuil, tu le tais, tu l'animalise - tu mérites la géhenne.

Tu mérites toute la haine, toute l'intolérance, tout tes ennemis ; ton voile de ses femmes-là, jeunes sans gêne qui beuglent sans déférence pour marmonner leurs jours à des amis ; quelle pudeur ! Et pourtant c'est une excentricité.

Tu mérités, arabes et musulmans ; ton noir-de-monde de rancune ; tu mérités parceque te sentant toucher, frère de ses moncelleurs de petit-blanc durant les attentats ; tu ne supportes pas qu'on te dise qu'ils sont des musulmans au lieu de les combattre !

Si j'étais devant toi, Imam ou même, qui donc - petit impudent de musulman qui n'aura jamais lu son livre ; cent ans après ton dernier soupir je te rappellerais les toutes premières pages du Coran.

Petit enculé d'Arabe ! Je te hais pour ce que tu es et persiste à être ! Je te hais parceque tu es double et infâme ; parceque déjà enfant tu ne partage aucune innocence ; tu es trop fière sans avoir nulle grandeur - tu es une serpillière qui brunit et centuple les eaux.

Je te hais tout mon soûl et sitôt si demain je dois mourir ; tu m'auras pour ton sort si ta décision est d'emporter de mes proches, de mes voisins, de mes connaissances.

Répit de l'amour donné à tout ses animaux qui cherchent à se dédouaner pour démêler les douannes - demain, tous à la rue vous y serez ! Ce sera pour rentrez chez vous ! Vous aurez beau prier le ciel en levant votre doigt d'idole à votre maitresse la Mahomette - ou bien toucher de vos front le sol, parvis de l'enfer pour communier avec Satan - rien ne nous empêchera de vous menez en bateau !

Toi blanc, qu'attends-tu pour haïr d'absolu au lieu que de désaîmer - que d'exécrer vainement !


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