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Elysée ravi, où le président-trouffion se lève aux aurores pour nous rendormir à grand-coup d'une guerre presque-mondiale

  • Venehon
  • 10 sept.
  • 3 min de lecture

Depuis 2017 et son débat avec Marine le Pen, le président-trouffion nous fait entendre qu'il veut être le chef des armées ; il fustige le putsch-sénile du général de Villiers et rappelle à ses troupes qu'il est "le chef".

Il y a deux semaines une brève du Canard Enchainé nous informe que Macron prépare nos hôpitaux à recevoir 500 000 blessés par semaine d'ici mars 2026. Et puis les purges successives de l'état-major qui annoncent qu'ils se cherchent des alliées et des obéissants ; Monsieur prévient les mécontents, les réconfortent en leur offrant une retraite bien-mérité.

Hier soir, après une chute de Bayrou et un vote de confiance qui ne rimait à rien en vérité - qui n'était en fait disposé par le Trouffion que pour faire place à son ministre des armées - il est de plus en plus prévisible qu'il voudrait marquer l'histoire et le faire avec notre sang.

Pourquoi se préoccupait d'une prochaine élection ? Tandis qu'une bonne guerre bien arrêté lui laisserait ouverte la fonction présidentielle ?

Est-ce qu'il ne sera pas temps de faire fi du clivage qui oppose la gauche et la droite juste le temps de foutre dehors le président-maqueraux ?

Quoi donc ? La droite voulait d'une guerre civile, la gauche d'une révolution ? Eh bien vous aurez seulement la guerre mondiale.

Vous iriez mourir pour ce gouvernement de pédale et à la solde des transexuels ovolatrès ; à la solde des peuples internationaux dont le cul est dictat - soldé votre vie, comme si elle ne valait rien, pour que tous ces trouffions de Laval à Bogota puisse encore vous mangez sur le dos ?

Que deviendront vos femmes lorsque vous irez crever ; peut-être décoré des honneurs de la France, de la main de Macron le protoxyde ?

Eh bien, ce seront des milliards de diversitaires qu'ils choisiront pour repeupler ; pour tenir chaud à vos femmes et à vos filles ; et comme nous les connaissons des gens pressés, nous savons qu'ils ne se contenteront pas d'enculer dans leur maison, mais se serviront du plat qu'on leur a si humblement donner pour bulgariser vos filles jusqu'au trottoir.

Oui, vous serez morts comme des cons, des idiots - mais vos femmes ? Elle se feront violer par milliers - et ils n'attendront pas que la guerre soit fini, croyez-le.

Un jour, sur le front, vous recevrez un SMS ; votre femme vous dira combien ces gens trainent dans les rues et bientôt ils seront de votre voisinage ; vous aurez des noirs de paliers, qui ne parleront plus une seconde notre langue.

Toute ces choses que vous connaissez actuellement et contre lesquelles vous êtes formellement de nature, vont pourtant s'accélérez si vous acceptez la guerre comme vous avez acceptez jadis de vous conformez à toute les réglementations ; de plus en plus nombreuses ; et de faire de vos vie des normes accumulés.

Il faut que ce gouvernement tombe, d'une manière ou d'une autre. Et que cela vienne indifféremment de la gauche ou de la droite.

On s'en fout d'ailleurs. Que ça vienne de gauche ou de droite, une seule chose : Il faut que Macron s'en aille ou bien ce sera la guerre. Il a nommé le Ministre des armées comme nouveau chef du gouvernement. Soit il s'en va, soit c'est la guerre. Point.

Donc on s'en fout de tout vos délires de confiscations troufignolâtres ; prestidigitions rhétorique pour vous empêcher de nous dire qu'en vérité vous avez la flemme de parader le 10 septembre et plus si affinités ; ce qui serait compréhensible au jour le jour ne l'est plus aujourd'hui - , l'heure n'est plus à la politicanterie.

Macron ne veut pas faire la guerre à la Russie ; c'est contre vous qu'il joue des coudes et contre vous qu'il se réserve de jolies petites guerres, toutes mignonnes ; dèja bien feuilletonisées.

Ils veulent vous privez de l'ambition que vous avez pour la France ; c'est simple, ils veulent mettre un frein à votre espoir.

Ils veulent neutraliser l'extrémisme en le déroutant, c'est vous qu'ils veulent dérouter.

Ils savent que l'extrémisme n'est pas leur ami ; ils veulent le tuer dans l'œuf tant qu'ils le peuvent encore.

Que leur importe en vérité de gagner la guerre ? Tandis qu'en vous assassinant ils retrouveront la paix ?

Ils veulent vous faire taire, vous empêcher d'accéder.

Après vous avoir trompé durant des décennies ; ils veulent en finir des reproches que vous leur faites en continue. Et ils n'auront pas un plus court chemin de vous fermer la bouche qu'à ce qu'un Coréen du nord vous y foutrera des mittrailleuses.

Il faut que ce Gouvernement tombe.

Il faut que Macron nous fasse une Varenne, lui et son roi accolyté.

Il faut qu'ils s'en aillent tous.

Nous voulons d'une guerre civile ou d'une révolution, ou rien.

 
 
 

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