Retrouvons la violence

"La violence est un manque de civilisation !!!!" Considérez donc que Proust bataillait quelques-fois, c'est Mauriac qui nous le raconte.

Vous essayez simplement d'avancer votre petite nature en dépit de la réalité du monde : vous travestissez à dessein. Vous cherchez à faire valoir votre comportement pour ne pas avoir à le changer.

Vous cherchez à ce que les enfants deviennent aussi veules et débiles que nous ne le sommes avec l'objectif de vous pérenniser.

Hors, je sais que ces petits du genre Sebastiennant ne finissent par devenir que de professeurs moyens que leur enfants dépassent bien vite : entrainant une jalousie qui sera bientôt de l'ordre de la folie en plus de l'être de la malveillance et de la bêtise. Marien Defalvard pourrait aisément vous racontez l'histoire de son raton de père.

C'est en miroir ce que deviendra Sébastien une fois parent ; un petit spécialiste exhubéré ; à condition bien-sûr qu'il ait un fils ou une fille qu'il ne renoncera pas à enculer entre deux paragraphes de Merleau-Ponty. A condition bien-sûr qu'il ne soit pas tout à fait impuissant.

Une civilisation perdure lorsqu'elle entretient le crime de son espèce contre son espèce.

Il en va de ce qu'elle diverge en elle-même et se connaît par le menu en ce qu'elle cherche à voler, tuer au mieux par exemple.

Aussi pour ce qu'il en va d'interdire, de réprimer, de corriger.

Et cela sans connaissance théorique et par simple voisinage mentale.

Depuis ce jour où l'on aura dit aux enfants qu'il fallait travailler à l'école pour parvenir à la France. C'est depuis lors que les cancres ont fait sécession ou furent dépossédés. Que les ancêtres, peut-être bien mauvais élèves - furent remplacés par les professeurs et les savants. Que la France, la République Française fut troqué en Ecole Républicaine. C'est depuis lors qu'elle aura chue.

Mais la violence des blancs est dissolue ; croyez, je vais vous damner un petit livre, je vais affermir votre tête si tant qu'elle vous rendra bien allègre à faire le mal à votre tour.

Nous serons le mal le temps de la pureté.