Voici un vrai travail, sujet véritable que je me propose d'opérer sous vos yeux. Nous connaissons bonnement tout nos sacrés masos ; parmi nos petites gauches qui ne sont jamais bien loin de se changer en gaupe.
La plaie que de vous faire la recette, vous les savez comme de coutume ; ils choisissent formellement de condamner les leurs, et d'en jouir – ils jouissent à n'en pas dire de se faire dominer par leur grands noirs éblouissants, ils pourrait ces grand-dieux choisir de se grimer s'ils le pouvaient, et se parer de tout les boubous de l'univers si leur marotte les faisait tourner au mieux comme des enfants.
Cette sorte de gauche, ces Hawk Thuah on te croit – qui sont bien prêt à attendre toutes les excuses de leurs très chers enrichisseurs et de les croire dur comme fer, ça ! jusqu'à plus soif.
Donc, pour nous les mieux rallier et vous introduire un peu aisément à son opposé qui n'est qu'un frère disons, je me dois de me régler au mieux avec vous concernant les horloges détraqués que sont pour nous les ethnomasochiste ou ectomasochiste (racine qui porte à un masochisme par le biais des autres), les voici donc :
Ce salopard manifeste à tout le moins des critiques envers tout les aspects de notre culture ; et se plaît à les comparer dûment, pour les dévaloriser.
Il exprimera d'abord son grand litige en grand-garçon qu'il se veut être, puis monsieur rétrécissant comme son colon en d'autre-lieux, il nous fera part comme d'un fiel ami de sa honte insigne ; il ira jusqu'à taire, jusqu'à nier, jusqu'à ne plus voir dans cette maladie venimeuse tout les aspects positifs, éclairant de sa propre culture qui existent en toute logique dans toutes celles de notre monde.
Il se fera le chantre ou le garçon café de toutes les cultures modiques qui lui seront passé par les mains ; il s'en ira probablement jusque Acalpulco pour idéaliser sa rondelle d'être à ce point grisée : il inventera pour mieux qu'on approuve ces potions des myriades de théories avachissantes : je vous laisse relire ma Lettre Morte ! - monsieur nous donnera du BNWO (black new world order), nous fournira de ses thérapies hallucinatoires, vidéos projetés comme les pendules de psychiatres qui n'ont que pour seul but encore, de se soumettre le plus possible à leurs grand-noirs, et que les blancs selon eux se trouvent une place à l'échelle de la nature, cet à dire celui d'être une femme hormonale.
Il plaidera pour une repentance comme vous savez, ira dans les rues jusqu'à se dire qu'il serait bon qu'il ait à lécher les bottines de ses Débroussailleurs, il portera des pancartes ; se fera rougir le cul et celui de ses enfants pour seul besoin que de jouir mentalement, de fantasmer encore et toujours au travers l'éternité des symboles - dieu ! ce n'est pas à moi qu'il faudra proposer toutes ses grâces : ma mémoire très souvent inégale est pleine d'un sang qui n'aura jamais rougis.
Il s'alliera à toute les coturnes qui peuvent le faire s'avilir, le faire se jeter aux sols à la recherche de sa monnaie, ce grand-pardon pour les indignes. Il fera naître des tournures inattendus, très souvent d'ailleurs sexuels comme je l'ai dis au-dessus et qui plairont à nos chères sauce madère.
Biensûr il n'oubliera pas de traiter ce qu'il faut des traditions qu'il pense infamante de notre civilisation, bientôt il s'en ira solliciter le Grand Yakub !
Bien – maintenant que le voilà défini ; nous sommes en bon-terme pour prendre l'envergure d'une autre façon d'envisager le masochisme occidental : qui rebondit en certaine personne par un sadisme vis-à-vis des siens, que l'on pourrait appelé ethno-sadique ou endomasochiste ( à un masochisme par le biais des siens).
Ethnosadisme : Une attitude ou un comportement où une personne manifeste une cruauté, une hostilité ou un mépris actif et intentionnel envers sa propre culture ou ethnie, avec l'intention de nuire ou de détruire des aspects de cette culture, qui ne lui conviennent plus.
Partons du principe que l'exemple-type de ces petits-hommes ne serait rien tant que notre faisan-politique l'ami Soral à la double casquette : qui n'est pas loin d'être le tenancier de ce que j'appelle la Droite Semoule et qui se définirait ainsi :
Une attention constante à toutes les petites manifestations de ce qu'il estime être à peu près la perte des temps, une sorte de décadence – et cela parfois comme seul réflexe, préambule à toute ses pensées.
Prendre part, se réjouir de tout ce qui punit, tout ce qui à pour bonheur d'avilir de plus en plus la nation première, attendre le Grand Chamboulement comme une terre promise, mais un chamboulement qui ne viendrait pas de ce « peuple mort » qu'il mésestime.
L'usage de mercenaires idéologiques et raciaux : flatter la chèvre au cou de ses maghrébins décapiteurs ; les renforcer en louant leur virilité.
Comparer la virilité des blancs et des autres ; contraindre par ce fait-même tout espèce d'esprit de révolte qui pourrait mettre en péril selon leur mot ce « petit-blanc »
User d'un vocabulaire dégradant qui nous rappelle leur faux-frères de gauchistes : le « petit-blanc » ; « le babtou ». Afin d'appuyer sur la fragilité supposé, et ce de manière quasi eschatologique.
Et tout cela dans le seul but de vouloir diriger les siens par la force et la contrainte ; ces ethno-sadiques sont comme ces vers creusant dans la meule qui se cherche des encoignures de fromages un peu plus tendre histoire d'avancer sa pourriture.
On peut en effet considérer que notre peuple soit à sa mort ou son déclin ; sans penser une seconde que nous aurions besoin d'un apport de continents d'outremediterannées. Je suis encore gentil lorsque je parle ce qu'il considère faussement être des « apports », ils voient bien plutôt cela comme un ravalement ; une Tabula Rasa bien effective dont ils se verraient les pontes.
Je n’appuie pas assez selon moi sur leur manière d'user de compagnons extérieurs pour sacrer ; sacrifier à la nonce nos chers petit-blancs : monsieur Soral et ces merlans voudraient être sacrés, élu non par sa communauté mais par le biais d'une sorte de coup-d 'état bohème ; monsieur Soral agit comme une Esmeralda : elle attire son monde exact et se plaît à séduire les bossus pour les rejeter à ce qu'ils sont : des merdes quant ils se comparent.
Il y a une sorte de haine tout acclimaté envers les siens ; qui ne déroge pas à la soumission des masochistes ; ce pourquoi ils sont si proches tout en se croyant si distant.
Tout les deux jouissent, ils jouissent ces messieurs en éjaculant sur le front de nos enfants de choeurs ; à la manière dont une mère méchante vient embrasser son fils juste avant de le coucher ; c'est une chose comme le verre à lait de saint-Judas.
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