Ah mais tu ne viens pas d'une "cité merdique" et tu oses ouvrir ta gueule ? Tu sais ce que c'est de vivre à leur côté ? De te faire menacer de morts à six ans par deux-trois petites de tes racailles fétiches au fond d'un bus. De se prendre un revolver sur le crâne à sept ?
Vous ne savez pas ce que c'est de vivre avec eux et voulez faire les grands connaisseurs ; moi je parle en toute connaissance de cause et je ne veux pas cela pour mes enfants. Ni être réveillé à 15 ans par tous les tirs de pistolet-mitrailleur de ces messieurs enrichissants.
Ni même me soucier qu'un de mes amis se fasse poignarder de 40 coups de couteau dans la nuit pour avoir demander à dix enculés de baisser leur musique pour sa petite sœur qui voulait dormir.
Ni même avoir à me demander si je retrouverais mon frère vivant après qu'un salopard ce soit senti provoqué par "son regard", et soit venu le menacer d'un couteau jusqu'en bas de chez nous (première étage d'une cité de merde)
Et soit venu lui dire très normalement, lors d'un petit rendez-vous d'avertissement : "je vais te tuer parceque je vois chaque jour dans le miroir le bleu que tu m'as fait".
Je précise que mon frère s'était fait agressé par cet enrichisseur au couteau et dans un bus, et lui avait répondu par un coup de poing bien placé qui lui a probablement sauvé la vie.
Et je te parle des agressions récentes ? Je sors tranquillement de chez moi et je suis au téléphone ; trois connards s'arrêtent auprès de moi en voiture, me prenne en vidéo et m'asperge avec des pistolets à eau ?
Je te parle de ce vieillard qui s'est fait agressé sous mes yeux par ses originaires dégénérés ? Nous nous sommes interposés moi et ma femme et l'un d'eux a eu ce grand courage de sortir un couteau ?
Je te parle de ma cousine qui s'est faite violé par un migrant semi portos-maghrébin ? Elle avait douze ans ? Et moi, qui me faisait toucher les jambes par ses enculés à treize ans à des arrêts de bus ?
En fait où est-ce que tu te crois possible quelque-part de te comparer à mon vécu et te croire légitime en plus de cela de me parler de tes semblants d'amis qui ressemblent sans mot dire à votre doxxa politique ? J'aurais préféré cent fois qu'on me refuse un logement ! ça !
Maintenant je veux bien te parler de mon collège : je suis déménagé dans ce nouveau bahut et l'on m'accueille disons favorablement avec une sorte de farce et attrape électrique, me bizuter la main et en rire pour me souhaiter la bienvenue.
Tout au long de ces années je suis frappé par des algériens, tunisiens, marocains, sans discontinuer dans les toilettes ; dans la cour, lors des sortis scolaires : je suis traiter de "gros nez de français", de "sale blanc" et fin de quatrième le mot apparaissant : de babtou.
Je suis frappé dans les toilettes, filmé, mis sur les blogs de jadis ; je suis frappé dans les sorties scolaires, pousser sur les talus pour me faire dévier de la route ; on me force à toucher les fesses de filles en me trainant d'un bout de terrain à l'autre. Extra, non ?
Alors crois-moi, je n'ai rien à apprendre de toi et je n'ai surtout pas à recevoir de leçons d'un gars qui a sûrement vécu préservé de tout cela : et si tu ne me crois pas, va te faire foutre : les français qui votent aujourd'hui en masse pour le RN ont tous vécu ce que je raconte.
Il ne faut jamais rien dire de son vécu à ces ordures de gauchistes ; ils vous riront au nez comme le font les arabes.
Ces gens sont des salopards à minima.
Je lui ai répondu comme il fallait, et l'humiliant de ce qu'il aura été heureux de rire le temps de notre échange.
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