10 avril 2019
Voilà que cet écouillé, dirigeant farineux de la saincristie nous fait voir son visage. L'homme si parfaitement adulé au travers les continents, qui aimant à ce point l'exotisme, nous vient comme à ses comparses embrasser les pieds-migres. N'oublions pas, comme le révèle la nouvelle enquête Sodoma de Philipe Martel, et comme le révélait déjà le livre de Roger Peyrefitte, les Clés de Saint Pierre que ce coinstot du Vatican - bizarre aliénation d'une terre si petite, qui ressemble si fortement à bien voir la place de Saint-Pierre, à l'un de ses anus vu par les oiseaux - il ne nous faut pas oublier, que ses rampants plus efficaces fonctionnaires autant qu'inefficient - qui gardent sous leur séant de carmin des trésors millénaires inavoués - que ces hommes-là, accusateurs cent-et-une fois de la principauté des rectums, n'en sont pas les moindres garnisons ! Combien, garnements encore et n'ayant jamais eu l'affaire des copulations fatidique de l'adolescence, ont dû se rendre - chérubins encore - dans les voix et lignages et dans la loggia des Papam anciens et nouveaux. Mais surtout faudra-t'il un jour que leur secrets se décabine, combien d'entre eux, cardinaux croque-mitaine, n'ont pas les suffisances, les courages un peu outrageux de Gilles de Rais et plutôt qu'adorer les cuisses des régions Italienne concomitante autour de leur viscérale corruption - s'en vont-ils chercher des éromènes au-delà de la méditerranée. Moins encore, auront-ils leurs amis des nuits et des jours, et d’ennuis les jours sans travaux, à être identifié, moins les soucis et les décoctions médiatiques de leur bedaine de sybarites ne se feront sans approche. Les voilà donc sauvés !
Ce Papam, si étonnamment latin, lorsqu'on veut bien le prononcer ainsi nôtre Papam - à ses camphrures à purifier les morts si nous le comparons par la langue à nos aborigènes, les Papous. Habemus Papous ! Habemus Empapaou ! A ce grand Montherlant masqué de la junte homosexuel !
Je dis Papous autant qu'il le faudra - notre ami Pape embrasse les pieds de migrants, tandis qu'ils refusent les humbles lèvres des croyants selon des coutumes bien étourdissante, bien solennel !
Qu'avait-il à cacher de sa main, quelle odeur de fessier ? Si j'étais au sein de l'église comme dans l'écrin de mon Dieu, de ce jour où Madame la Main de ce divin-appelé, cher Pape François, avait retiré sa bague aux bons croyants qui ne faisaient pas la fine bouche d'embrasser ses doigts masturbateurs ; de ce jour j'aurais pris la croix dans les églises et l'aurait posé dans les chemins, j'aurais sortie la croix, lui aurait donné le logis de la nature, d'un nouveau paganisme-chrétien, seul encore, qui pourrait survivre à ses longs vicelards du Vatican qui se coupent les cheveux, mais dont les crânes et le cou, ont fait des ourlets d'une duplicité victorieuse.
Que faut-il de plus, à ces chrétiens d'enfantillage pour une bonne fois rompre la dîme et s'en aller dans les pas des sédévacantes ; le saint-siège s'est de ce jour désormais bien symbolique entièrement circonscrit, entièrement mis à la marge de toute divinité. La théologie même à pris à sa part un dommage : que faisait à ses heures perdues le Satanée Satan au bon curée d'Ars ? Il ne se contentait pas de le chiquenauder durant son sommeil et puis de le pincer. Des nuits entières encore, prenait-il sa main et sans plus de concorde, la plaçait ainsi qu'un forgeron dans un feu plus incandescent afin de l'y brûler. Qu'elle était ce symbole de cette main brûlé ? J'apprends surtout d'un ami, qu'au jour même où notre Papam infatigable avait retirer ses mains - la main reliquaire du Saint-Curé d'Ars s'était mis à noircir plus que de coutume. Je ne sais pas bien s'il y a de la vérité la-dedans. Ce que je sais, c'est que sans être vérifiable par nos médias d'absolus fieffé, l'histoire de cette main du Curé qui saurait se noircir le jour-même, quelle message y'aurait-il à enfin se ravoir pour évincer nôtre doux Pape, l'impostérieur !
Mais surtout, l’infamie de nos adorateurs de la céleste praline n'est pas oublié dans ma mémoire - me traitera-t-on d'allégateur,que tout de même j'aurais à dire mes vérités et ne m'en déferait pas. Ceux-là qui ont pu visiter bien souvent l'Italie - je m'y suis pour ma part rendue deux fois - ont bien vue la grandeur de la contrée Romaine et de ces arbres plus significatif qui nous font mieux aimé la nature des environs de la Capitale, que les monuments cent-fois rabâché de la Capitale. Alors, j'étais allé en promenade, je montais à certaines collines et j'arrivais à une auberge au sommet de l'une d'elle "Lo Zodiaco", j'y prenais un repas plutôt frugale et que n'étais-je pas surpris d'y voir l'un de ces abécédaire de Dieu - cardinal en manches et croupes - dans cette maison somme toute bien modeste malgré le cadre dont elle bénéficiait. Je le suivais avec beaucoup de prudence, du regard et cette homme aux courts cheveux blancs était accompagné d'un autre en cravate - quel intérêt y avait t-il à voir d'aussi prés, et aussi peu prudemment dissimuler des intérêts importants qui se donner en public !
En sortant, je le suivis, il entrait un peu plus haut sur la colline dans une zone militaire à laquelle je ne pus accéder - et donc, je fis mine de prendre en photographie le décor. Je savais, qu'au delà cette zone militaire il y avait la très fameuse Villa Madama (Maison Madame en Français) connue surtout pour ne s'ouvrir que très minutieusement à la visite des petites-gens, et pour accueillir les délégations étrangères d'importance. A mon idée, j'y voyais donc comme une maison d'apparat, de diplomatie.
Je rentrais alors, dans un mystère qui ne s'était pas encore endormie : je rencontrais ce jour un ami dont les bras étaient bien longs. Je lui dis que j'avais vu entrer la sodomité rouge dans une zone militaire qui devait conduire inévitablement à cette maison. Il me sourit, et me rappela d'une naïveté. Il était bien connu dans cet capital, par tout ceux qui avait assez de connaissances dans ces matières : que cette Villa Madama était un lieu d'une débauche sans nom, dans laquelle pour convenir aux bonnes mœurs, on accueillait avec grandiloquence érotique, nos fières invités de l'étranger dont pas un n'avait de force à refuser les récompenses. Mais lorsqu'il y avait des vacances de ses initiés de passages - qu'avait-on à faire de cette maison si bonnement gardé et si secrète ? Il me dit qu'elle servait à l'érobalgie de ces sacripants en dentelles ! C'était en quelque-sorte une maison de passe. Fabuleux Vatican - dont on connait bien les tunnels au dessous des édifices - tant de mythes souterrains qui sont véritablement des foyers du réel sans plus d'imaginaire ! Il nous faut reculer devant la fausse-croix qui nous à montré son prestige, et ses fastes pour nous faire plutôt le blanchiment de sa vertu. Adieu dieu de l’Église à tout ceux qui en ont la ferveur.
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