La gauche ne débat pas, elle se débat.
Elle est comme ce petit poisson hors de sa nature posé sur une table, qui ne sait pas qu'il doit craindre un couteau.
Ils me rappellent ma pute de patronne qui n'a jamais considérer que dire à quelqu'un qu'il "faut se faire soigner" soit une insulte en soi. La gauche se préserve ainsi de toute exhibition quant à une probable vulgarité et peux s'ébattre encore et encore à nous dire que nous avons été les premiers à être insultants puisqu'au final, voyant que cette gauche tempérée, était apeurée, s'appauvrissait madame d'arguments en arguments - nous les avons traiter de fille de catin.
C'est pourquoi je dis qu'elle a un déficit au niveau de l'intention ; elle vit ce monde comme s'il n'existait pas de représentations.
Elle ne parvient pas à voir au-dela de ce qui est dit : elle ne cherche rien et se contente tant elle est prostrée à être ce poisson sur cette table.
Elle esquive, s'entoure d'une gangue de petites prosodies qui lui sont rassurantes - préfère en appeler à des noms, des formes, des fautes de grammaires, des acceptations psychiatriques plutôt que d'avoir quelques peu de répondant.
Et elle le fait d'une manière si putain ; si étonnamment catine qu'on ne peut s'empêcher de bien voir une salope tout à fait hautaine qui nous offrirait sa fesse à condition qu'on lui ai fait assez de révérence ; qu'on ait surnommé son cul sa majesté.
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